C’est un classique de l’été : dès que la climatisation est allumée, quelqu’un éternue, peste, et déclare, sûr de lui : « Moi, la clim, ça me rend malade. » On acquiesce poliment. On monte d’un degré. Et on continue à transpirer pour ne pas froisser le collègue. Mais cette idée reçue mérite qu’on s’y […]
Article réservé à nos abonnés.